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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 23:39

La place Franz-Liszt est une place de Paris formée en 1822. Elle reçut en 1825 le nom de Charles X, remplacé en 1830 par celui de La Fayette, puis Bossuet en 1842, et à nouveau en La Fayette, en raison de la rue du même nom qui la traverse. Elle sera au final baptisée en 1962 place Franz Liszt en l'honneur du célèbre compositeur. Elle est dominée par l'église Saint-Vincent-de-Paul, bâtiment ayant souffert de la Commune. La place est un ensemble réalisé par l'architecte Leclère sous la Restauration. Face à l'église Saint-Vincent-de-Paul, on peut observer de légers immeubles classiques qui se suivent du no 1 au no 7.

Cariatides de la Place Franz Litz

 

 

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 01:18

Erigé en 1899 sur le terrain ouvert par le prolongement de la rue d'Abbeville vers la rue du faubourg Poissonnière en 1894, cet immeuble de rapport frappe le regard par les deux groupes de figures monumentales qui ornent le support des encorbellements de la façade d'angle et de la façade sur la rue d'Abbeville.

C'est un exemple remarquable d'architecture Art nouveau , marqué par le goût du relief et du décor, aussi délirant dans la pierre que son voisin, au n° 14, l'est dans la céramique. Les statues, figures féminines à demi - nues auxquelles on a parfois reproché leur manque de sveltesse, se cambrent, contorsionnées autour d'un cartouche, aujourd'hui vide, mais qui contenait jadis un angelot.

 Elles flanquent deux travées verticales de bow windows dont la base est un énorme oeil de boeuf , et qui se terminent par un fronton richement décoré. Tout le long des fenêtres s'étagent des ornements sculptés : mascarons, consoles, frontons triangulaires, grappes de fleurs et de fruits. A l'avant dernier étage, les fenêtres sont séparées par des têtes de lion sommant de gros pendentifs à motifs végétaux tandis qu'au dernier étage, ce sont des demi - colonnes engagées dont le haut s'incruste dans le comble habité qui marquent les intervalles entre les fenêtres. La profusion de décors architecturaux variés donne à la fois une impression d'accumulation et d'équilibre soigneux.

 L'intérieur de l'immeuble a été également très travaillé. Dans le vestibule, des groupes de deux colonnes délimitent six panneaux ornés de guirlandes végétales, de frises illustrant des jeux d'enfant et de têtes d'enfant et de jeune femme. Dans l'escalier, les vitres sont peintes de motifs floraux. Ce bel immeuble est dû aux plans de Georges Massa et au ciseau de Dupuy, sculpteur statuaire qui résidait 21 - 23 rue Saint Vincent de Paul. C'est par erreur qu'il a été parfois attribué à Jules Lavirotte.

(Article de Maryse Goldemberg, conservateur à la Bibliothèque historique de la ville de Paris, Dictionnaire des monuments historiques, Hervas  1997, p.26)

Source : http://bauduin01.canalblog.com/archives/2010/07/23/18652058.html

 

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 00:34

Des tulipes de toutes les couleurs ...

De l'autre côté du lac, le héron cendré part à la pêche ...

Mais à quoi peut bien penser ce canard de Barbarie ?

L'oie à tête barrée semble trouver l'herbe bien bonne ...

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 23:55

 La fontaine est aux dimensions du Conservatoire municipal Jacques Ibert : Imposant. Elle prend sa place dans une énorme niche disposée sur la façade latérale.

Elle est composée d'un empilement des 3 colonnes " doriques " cannélées et de diamètres décroissants. L'eau descend cette stucture pour ressortir par une bouche ornée de congélations.

C'est la nuit que la beauté de cette fontaine se révèle par de subtils jeux d'éclairage sur les chutes d'eau. On en oublie alors la sobriété des formes et l'uniformité des matériaux. Le Conservatoire a été achevé en 1987.

Adresse : 81 rue Armand Carrel, Paris 19ème

* Source :   http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=75119_3

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 08:56

Voici le héron cendré des Buttes Chaumont. Je ne sais toujours rien sur lui. Ce jour là, il était seul, mais je sais qu'ils sont deux et parfois plus. Au mois de Février de cette année, j'en ai vu quatre.

Ce jour là il s'était posé pas loin de moi, la chance !

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 23:37

Le Canard de Pékin est un canard domestique originaire de Chine qui a été introduit en Amérique (d'où son autre nom de Pékin américain) principalement pour sa viande et ses œufs. Lorsque il élevé dans de bonnes conditions la femelle pond un œuf tous les jours durant une période de ponte qui peut s'échelonner de quelques semaines à quelques mois (jusqu'à 6 mois consécutifs).

 Sa couleur est identique chez le mâle et la femelle. Il est blanc avec un bec jaune. La différence entre le mâle et la femelle sont les plumes de la queue. Chez la femelle, les plumes de la queue sont bien droites jusqu'à la fin, tandis que pour le mâle, quelques plumes de la queue se retroussent vers le haut. Le mâle est aussi un peu plus gros.

Ce canard est facile à élever car il est robuste et sociable. Ses ailes ne lui servent qu'à planer car il est trop lourd pour voler.

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 08:45

Quand on pense à un cygne, on imagine toujours un grand oiseau blanc. L’Australie nous réserve des surprises.
Le cygne qui y habite est tout noir. C’est d’ailleurs la seule espèce à présenter un plumage entièrement sombre.

Le cygne noir possède toutefois deux marques blanches : un anneau qui entoure son bec rouge et le bout de ses ailes que l’on ne voit qu’en vol.
Au sol, il est d’un beau noir brillant uniforme.

Ce cygne mesure jusqu’à 1,50 m de long. Son poids est d’environ 4 à 8 kg. Sa longueur peut atteindre 1,40 m.
Son envergure va de 1,60 m à 2 m.

Il se nourrit d’herbes aquatiques et de graines qu’il récolte en plongeant son cou dans l’eau. On le trouve sur les grands lacs, sur les étangs, dans les estuaires et même dans certains bras de mer.

Ce cygne est originaire d’Australie et de Tasmanie. Il a été introduit en Nouvelle-Zélande et en Europe.
En Nouvelle-Zélande, il s’est tellement bien développé qu’il est devenu nuisible. Les plans d’eau et les prairies inondées ne lui suffisent plus.
Il va aussi rechercher sa nourriture dans les champs, causant parfois des dégâts considérables.

  Le cygne noir est monogame. Le couple reste généralement uni pour la vie.

Ces cygnes sont territoriaux et défendent leur domaine avec ardeur. Pour impressionner les intrus, les mâles ouvrent leurs ailes ébouriffées pour avoir l’air plus grands.
Ils les agitent à plusieurs reprises en faisant du bruit.

  La saison des accouplements s’étend de février à septembre. C’est en général la femelle qui confectionne avec des feuilles et des brindilles le grand nid au milieu des roseaux.

Elle y dépose 5 à 6 œufs vert pâle qu’elle couve à tour de rôle avec son partenaire pendant 35 à 48 jours.

* Source : http://www.dinosoria.com/cygne-noir.html


Voici l'histoire touchante de cette Madame cygne noir. Il y avait deux cygnes noirs au Square des Batignolles, Monsieur et Madame. Ils s'aimaient d'un amour tendre. Mais voilà, Monsieur cygne noir disparu, laissant Madame cygne noir dans la peine. Madame cygne noir ne va pas bien, ne se nourrit plus, et chaque jour, par instinct sans doute, elle essaie de construire un nid, et bien sûr elle n'y arrive pas. Voici quelques photos, je pense qu'elles vont vous émouvoir.

 

 

 

Chaque jour, Madame cygne noir essaiera de nouveau de faire son nid.

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 08:25

Un peu d'histoire
Au début du XIXème siècle, le petit hameau des Batignolles était encore perdu au-delà des limites de la capitale, lorsque des commerçants enrichis s'entichèrent de ce petit bout de campagne et y construisirent leur résidence secondaire. Le hameau devint un joli village, sur des terres qui restèrent la propriété des Dames de Montmartre jusqu'à la Révolution. Le village des Batignolles fut rattaché à la Commune de Paris en 1860, date à laquelle Paris fut divisé pour la première fois en 20 arrondissements, administrés par un maire et ses adjoints. Paris, qui comptait en 1280 310 rues, passa ainsi à 3 750 rues en 1860 !
Le plus grand espace vert de l'arrondissement est aussi l'un des 24 jardins créés par Alphand sous le second Empire à la demande de Napoléon III, qui désirait implanter dans la capitale plusieurs jardins à l'anglaise. C'est sur l'emplacement de la « place de la promenade », un immense terrain vague, que fut réalisé le square des Batignolles. Il fut secondé par l'ingénieur Darcel, l'architecte Davioud et l'horticulteur Barillet-Deschamps.

 Se promener
La grotte, la cascade, la rivière et le lac miniature ne sont pas sans rappeler le paysage du bois de Boulogne, qui fut dessiné par certains de ses mêmes auteurs. Ce jardin à l'anglaise, légèrement vallonné, recèle des trésors à ceux qui sauront ouvrir leurs yeux aux merveilles de la nature : des arbres magnifiques, en particulier 4 platanes plantés en 1840 et 1880, de 32, 33, 34 et 38m de haut, dont l'un fait 5,90m de circonférence ! Sans conteste parmi les plus grands de Paris ! Vous y verrez aussi des féviers d'Amérique, des saules tortueux, des noisetiers de Byzance, des frênes à feuilles d'Aucuba, des plaqueminiers du Japon, des citronniers trifoliers, et un séquoia géant ! N'hésitez pas à demander des informations auprès des jardiniers qui prennent toujours plaisir à partager leur passion avec le public.

Admirablement dessiné, il paraît beaucoup plus vaste que sa superficie réelle et son parcours réserve des surprises. Un petit ruisseau surgit d'une cascade rocailleuse et court à travers les rochers pour finir sa course dans un bassin aux formes arrondies. Une colonie de canards colverts disputent la place aux carpes et aux poissons rouges qui sillonnent inlassablement la pièce d'eau, intrigués par la curieuse sculpture en pierre noire de Volvic des « Vautours », de Louis Monard (1930). Elle voisine avec un buste du poète parnassien Léon Dierx (1838-1912), qui vécut dans le quartier, par Bony de Lavergne. Vous remarquerez également des socles vides. Il s'agit des seuls vestiges de statues qui furent fondues pendant l'occupation.

Se distraire Parmi les autres habitués du jardin, on observera le pinson des arbres, au cri si caractéristique. Il émet des sons courts, inlassablement répétés, parfois plusieurs centaines de fois par heure! Il avance en alternant sautillements et petits pas pressés, tout en hochant légèrement la tête. Son tempérament peu farouche vous permettra de l'observer facilement. Le jardin offre aussi de nombreuses activités pour les enfants, qui, pour se reposer de leurs jeux, pourront s'arrêter un instant dans la petite serre, située du côté de la place Charles-Fillion. Elle est devenue un des points-phare du jardin depuis sa construction, en 1996.

  Buste du poète parnassien Léon DIERX ( 1838-1912 ) qui vécu dans le quartier

* Source : http://www.mairie17.paris.fr/mairie17/jsp/site/Portal.jsp?page_id=142

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 06:13

Histoire du Lac des Minimes - Vincennes

Situé à l'emplacement d'un ancien couvent de l'ordre des Minimes fondé en 1 164 par le roi Louis VII, le lac fut creusé de 1857 à 1859 par Jean-Charles Alphand lors de l'amènagement du Bois de Vincennes.

Le Lac des Minimes est situé dans la partie Nord-Est du Bois de Vincennes aux confins de la commune de Fontenay-sous-Bois. De forme de croissant, il présente une superficie en eau de 6 hectares. Il possède trois îles en son centre qui sont accessibles : l'Île de la Porte Jaune, l'Île Nord, l'Île Sud.

De 1866 à 1974, c'est l'eau de la Marne qui alimente le lac des Minimes, à travers le réservoir de 28 000m3 que constitue le lac de Gravelle qui est le lac le plus élevé des quatre présents dans le Bois et était alimenté par la station de pompage hydraulique de Saint-Maur-les-Fossés situé 40 mètres plus bas. L'émissaire du Lac de Gravelle vers le Lac des Minimes est la rivière de Joinville. Depuis 1974, suite à l'ouverture de l'Autoroute A4 qui condamna la station de la Marne, l'eau du système hydraulique est pompée dans la Seine par l'usine du pont d'Austerlitz, puis ramenée au Lac de Gravelle.

* Source : Wikipédia

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 00:46
Lac des Minimes - Vincennes : Nids de Foulques

Plus grande que la poule d'eau, la foulque macroule est un oiseau de forme arrondie, au plumage entièrement noir, rehaussé par un bec et un écusson frontal blanc pur. Elle a un corps de canard avec un bec pointu, des yeux ronds et rouges, des rémiges secondaires bordées de blanc et des pattes verdâtres.

Foulque Macroule
Plonge très souvent à la recherche de nourriture. Nage lentement en
hochant la tête. Elle défend son territoire énergiquement en se précipitant contre les
intrus. Plonge avec un petit saut et ressort rapidement (flotte comme un bouchon).
 Court en frappant des pieds sur l'eau avant un envol laborieux.
 
Foulque Macroule

Son nid est une construction volumineuse faîte de matières végétales amoncelées sur la végétation émergée, dans parfois 30 cm d'eau, renforcée si le niveau d'eau s'élève. La cuvette intérieure est tapissée d'herbes. Il est placé assez haut et il est souvent bien visible.
 
Foulque Macroule
La femelle pond de 5 à 9 oeufs plus gros et moins tachetés que ceux de la poule d'eau. Ils sont blanc cassé brillant avec quelques mouchetures. L'incubation commence avant que la portée ne soit au complet et dure un peu plus de trois semaines. Les oeufs éclosent sur plusieurs jours. La plupart du temps, les premières portées sont pondues fin avril. Les portées de remplacement sont pendues jusqu'à fin juillet. Les jeunes restent au nid quelques jours puis ils sont répartis entre les deux parents. La femelle garde le nid avec sa moitié de portée et le mâle construit une plateforme spéciale pour la sienne. Les jeunes s'aliment seuls vers l'âge de 4 semaines et commencent à voler un mois plus tard.

Photos prises dimanche 10 avril 2011 au lac des Minimes à Vincennes ( 94 )
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  • : J'ai ouvert ce blog pour vous parler de "ma ville lumière" PARIS. J'y suis née et j'y habite. Je vous parlerais de mon quartier le 19ème arrondissement, ainsi que des endroits que j'aime pardessus tout, comme Montmartre et l'Île de la Cité. Je vous parlerais aussi des expositions que j'ai vu, des concerts ainsi que des défilés de tous genres. Bienvenue chez moi ...
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