19 février 2013
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Le rocher de la sorcière
Adresse : 21 avenue Junot, 75018 Paris
Métro : Lamarck-Caulincourt
Pour dénicher le "rocher de la sorcière", il ne faut pas hésiter à jouer les explorateurs urbains. Cette fontaine désaffectée trône dans un passage boisé, officieusement nommé "passage de la sorcière".
Entre les arbres et les plantes (derniers vestiges du maquis de Montmartre), face à cet intriguant rocher, un portail mène à une belle demeure de style directoire. Elle fut en son temps la demeure de la sorcière ...
En fait il n'y a jamais eu de sorcière dans cette belle maison. Une femme y vivait seule, assez solitaire, elle ne parlait à personne, ce qui a suffit aux enfants du quartier de la surnommer la sorcière et ce nom lui resta. En réalité ce passage se nommait "Passage de la sourcière" et de sourcière à sorcière il n'y a qu'un pas !
Il y a quelques années encore le passage était nauséabond. Aujourd'hui, un hôtel de très grand luxe "L'Hôtel Particulier" a choisi de s'installer dans l'ancienne demeure.
* Source : L'internaute.com
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Montmartre
18 février 2013
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Le grognard de Montmartre
Le commandant Henri Lachouque, historien de Napoléon 1er et de la Grande Armée, habitait 4 rue de l'Abreuvoir, en plein Montmartre.
Henry Lachouque, né Henri Lachouque, né le 28 août 1883 à Orléans en France, mort à Paris le 23 octobre 1971, était un officier et historien français.
Formé à Saint-Cyr, promotion Austerlitz de 1904, Henry Lachouque a participé à la bataille de Marne en 1914 sous le commandement de maréchal Joffre. Blessé, il fut obligé de quitter les rangs de l'armée.
Officier de la Légion d’honneur et décoré de la Croix de Guerre 14-18, Fondateur de l’Association des Amis de Sainte-Hélène, le commandant Lachouque a été de 1936 à 1946, Conservateur adjoint du Musée de Malmaison
Il se consacra plus particulièrement à l'histoire du premier Empire. Il fit restaurer la maison de Napoléon à Longwood (1934) et publia de nombreux ouvrages.

Sa passion ne passe pas inaperçue, si l'on regarde la maison plus en détails: une enseigne "A l'aigle Impérial", et deux aigles sculptés gardant l'entrée de la maison en sont les témoins les plus visibles.
Autre curiosité: le cadran solaire, qui représente un coq accompagné d'une devise, faisant référence à la cloche du Sacré-Coeur tout proche: "Quand tu sonneras, je chanterai".
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Montmartre
15 février 2013
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"On peut toujours améliorer un record. On peut toujours faire mieux." de Bruno Peyron

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Montmartre
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Le football freestyle est une discipline libre mêlant l'acrobatie, la jonglerie et la gymnastique et dont l'accessoire est un ballon de football.
Un style pour les techniciens du toucher de balle. Il consite à enchainer les dribbles au sol en utilisant toutes les surfaces du pied ( semelle, talon, coup de pied...). Le ballon ne cesse de rouler dans une direction puis une autre, tout en restant toujours plaqué au sol.

Le foot freestyle est divisé en 4 grandes catégories ou styles :
Le style le plus répandu de la discipline. Il se base sur un jonglage dynamique et l'animation des tricks est faite essentiellement par les jambes. Le ballon se situe toujours en l'air entre les pieds et la tête. Une fois le style maîtrisé tout s'enchaîne très vite, on en prend plein les yeux puisque le rendu est assez aérien.
- Sit
- Pourquoi ne pas s'assoir ? Cette variante consiste tout simplement à jongler mais assis. Bien que les tricks soit limités, la position est intéressante puisqu'elle permet d'avoir les deux jambes décollées.
Bloquer le ballon derrière la tête, c'est ce style! Cette variante comprend le jonglage de la tête mais également l'utilisation de tout le haut du corps. Il est essentiel de rester bien souple sur les jambes pour pouvoir réaliser les mouvements du buste. Le ballon reste toujours au dessus du nombril, sur la poitrine, le dos, la nuque ou l'épaule...

* Source : Wikipédia
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14 février 2013
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LA MAISON ROSE
Vous la trouverez au 2 rue de l’Abreuvoir. Cette rue appelée dès 1325 rue du Buc, servait à l’approvisionnement en eau de la population et à l’acheminement des chevaux et des bestiaux vers l’abreuvoir.
Cette maison aux murs peints de rose a été rendue célèbre par le peintre Utrillo.
Son tableau s’appelle « la petite maison rose » il a permis au peintre Montmartrois de se rendre célèbre. C’est aujourd’hui un restaurant.
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19 juin 2012
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Quand je me rend à Montmartre (le plus souvent possible) et que je me rend au "Village de Montmartre" souvent je fais le tour par la rue Lamarck. Mais là en passant devant les escaliers pour joindre la rue du Mont-Cenis, je me suis dit "Et si pour une fois je prenais les escaliers" ? ça m'éviterais de faire un long détour, oui mais, même si ce n'est pas le plus grand escalier de Montmartre, faut quand même le monter.
Le "Chat Noir" de ce lampadaire en me voyant en tire la langue ! Allez encore un petit effort et me voilà en haut, rue du Mont-Cenis, essoufflée certe mais j'ai gagné du temps. Et la vue d'en haut est magnifique!
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18 juin 2012
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Visitez la Butte en automne et vous aurez le privilège d’assister aux fameuses vendanges de Montmartre ! La culture de la vigne est fort ancienne sur la Butte. Bacchus y eut un temple. Les Abbesses possèdaient un pressoir près de l’église Saint- Pierre.
A la fin du XVème siècle, ruinées par les guerres, les Dames de Montmartre sont contraintes de vendre leurs terrains. Vignerons et laboureurs s’installent donc et cultivent de beaux vignobles : le Sacalie, la célèbre Goutte d’Or, le Clos Berthaud, la Sauvageonne, la Vigne de Bel-Air.
En 1576, la bourgeoisie marchande mène une grande offensive pour réduire le nombre des tavernes dans la capitale : les vins sont notamment soumis à des droits d’octroi pour entrer dans Paris et l’habitude s’instaure de franchir les enceintes de la ville pour boire.
Guinguettes et cabarets fleurissent alors sur la Butte au fil des ans.
Avec l’annexion de Montmartre à Paris en 1860, les vignobles disparaissent peu à peu. Gérard de Nerval veut en 1854 acheter la dernière vigne.
En 1910, on peut encore voir deux treilles du vignoble de Montmartre rues Damrémont et Lepic.
En 1929, le peintre Francisque Poulbot et quelques amis écrivains et artistes sauvent de l’expansion immobilière un terrain municipal en y plantant quelques ceps de vigne. En 1933, on poursuit la plantation avec plus de trois mille plants de Thomery et trois plans de Morgon.
L’année suivante commence la traditionnelle fête des vendanges qui se poursuit chaque année. Sont invités des vedettes, les notables de Montmartre, mais aussi les délégations des provinces françaises,et les chevaliers du taste-vin de toutes régions.pour fêter "le Clos Montmartre" aujourd’hui seul vrai vignoble de Paris.
Le produit des vendanges est vendu au profit du Comité de Bienfaisance de l’arrondissement.
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Maurice UTRILLO 1883-1955
Peintre français
Fils de Suzanne Valodon, qui fut le modèle de Renoir, Toulouse-Lautrec entre autres.
Utrillo est psychologiquement fragile et fait plusieurs séjours à l'asile dès l'age de 18 ans
Il sombrera progressivement dans l'alcool, qui provoqua chez lui de nombreux troubles.
Il produisit des centaines de toiles en plusieurs décennies et fut beaucoup plagié.
Dès les années 1920, il devint un peintre célèbre et le gouvernement français le décora de la croix de la Légion d'honneur en 1929.
Il mourut le 5 novembre 1955 à Dax où il était en cure avec son épouse et fut enterré au cimetière Saint-Vincent à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile
Maurice Utrillo est enterré avec sa femme LuciePeinture de Maurice Utrillo "Rue des Abbesses"
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Montmartre
15 juin 2012
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Le Cimetière Saint-Vincent est un petit cimetière caché en bas de la butte Montmartre, côté 18e arrondissement. Aucune concurrence avec le Cimetière du Nord (également appelé Cimetière Montmartre), les deux ne jouent pas dans la même catégorie. Quand cet illustre dernier récupère tous les jours des centaines de visiteurs venus des quatre coins du monde cheminant vers la Basilique du Sacré-Cœur, le cimetière Saint-Vincent n’accueille que quelques badauds curieux arrivés ici la plupart du temps par hasard.
Dès l’entrée, vous remarquerez le caractère presque confidentiel des lieux.Avec sa construction en pente, ses allées fleuries et la jolie perspective qui donne sur le Dôme du Sacré-Cœur, le charme vous saisira immédiatement, si tant est que la visite d’un cimetière ne soit pas pour vous quelque chose de répulsif.
Grimpez ensuite les allées et déambulez parmi les quelques 900 tombes qui ornent le cimetière, la plupart joliment décorées suivant la tradition parisienne, et très bien entretenues. Vous y découvrirez notamment quelques personnalités inhumées dans ce cimetière. Parmi les plus connues, citons Marcel Aymé, Marcel Carné ou Maurice Utrillo.
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Montmartre
15 juin 2012
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La célèbre chanteuse Dalida trouve son port d’attache à Montmartre où elle s’installe en 1962. Elle acquiert un très bel hôtel particulier situé dans l’étroite rue d’Orchampt en plein cœur de Montmartre. Elle fréquente alors le restaurant italien voisin Grazziano, en bas du moulin, ainsi que les commerces de la rue Lepic.
Dans les années 70, Dalida participe à différentes actions pour la défense et la protection de la Butte, qu’elle affectionne particulièrement.
Fragilisée par la perte d'êtres chers, Dalida se donne la mort dans sa maison en 1987 et sera enterrée au Cimetière de Montmartre.
En 1997, à l’occasion du dixième anniversaire de sa mort, le quartier de Montmartre décide de lui rendre hommage : son buste, œuvre du sculpteur français Alain Aslan (auteur également de la sculpture qui orne sa tombe), est érigé sur la petite place éponyme. La cuvée 1996 du vin de Montmartre porte également le nom de la célèbre chanteuse.
Sur la place se trouve un buste en bronze d’aslan la représentant.
Cette Montmartroise vivait rue d’Orchampt, à quelques pas de la place qui porte désormais son nom.Aujourd’hui, la place Dalida est devenue un lieu de commémoration pour les nombreux admirateurs de la chanteuse.
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