Le blog de TititeParisienne

Mairie de Paris-Concours parisiens des espaces verts

"Le totem est sacré, il crée un lien entre les animaux, les végétaux et les groupes d'individus"

      Dahlias pour le prochain concours du Parc Floral

Le dahlia est une plante vivace à bulbes annuels. Leurs fleurs sont d'excellentes fleurs coupées.

Elles préfèrent le plein soleil et un sol bien drainé. Il y a une grande variété de cultivars.

Certaines deviennent très grandes et servent pour les massifs, d'autres plus petites en plate-bande ou comme bordure.

Les tubercules de dahlia doivent être entreposés à l'abri du gel pour les utiliser l'année suivante

Le dahlia est originaire du Mexique.

Bien que décrite pour la première fois par le médecin du roi Philippe II d’Espagne, la plante tarde à apparaitre en Europe où le premier dahlia ne fleurit au jardin botanique de Madrid en 1791.

Le dahlia doit son nom à un botaniste suédois du XVIIIe  siècle, André Dahl. Peu de vivaces herbacées ont eu autant d’impact sur nos jardins. En effet,  2 ou 3 espèces de dahlias  sont à l’origine de milliers de variétés passées ou présentes. La mode de cette plante date de la fin du XIXe siècle et peu d’espèces ont connu une exubérance analogue à celle de cette fleur dont les formes et les couleurs varient à l’infini.

Chaque année, la 3è semaine de septembre, un concours de dahlia est organisé au Parc Floral de Paris,

A Paris, principalement dans les deux bois, différentes espèces de grives peuvent être rencontrées selon la saison.

La grive mauvis, visiteuse d’hiver, mais les deux espèces les plus courantes et les plus représentatives du genre sont la grive musicienne, admirable chanteuse, et la grive draine, insatiable consommatrice de gui. Tirant son nom de ses qualités de chanteuse (du grec philos = ami et melos = chant) la grive musicienne (Turdus philomelos) se rencontre assez rarement dans Paris même. Quelques couples ont été localisés principalement au Jardin des Plantes, aux Buttes-chaumont et au parc Montsouris mais, tout comme sa cousine la grive draine (Turdus viscivorus), elle cherche les grands arbres pour nicher et les espaces calmes et dégagés pour se nourrir, aussi fréquente-t-elle essentiellement les bois de Boulogne et Vincennes.Les deux oiseaux présentent un corps brun sur le dessus, clair tacheté de noir sur le devant.

Longue d’environ 22 cm, la grive musicienne est plus petite que sa cousine. Elle porte sur le verntre et la poitrine des tâches noires en forme de fers de flèches et révèle des aisselles couleur miel sous les ailes lorsqu’on l’observe en vol.

La grive draine, elle, mesure près de 29 cm et se différencie de la musicienne pas sa posture dressée, son apparence générale plus claire et la forme des taches noires plus rondes sur la poitrine et le ventre. On remarque également chez la plupart des draines une marque sombre sur le côté de la poitrine.

Les naissances ont commencé au Lac des Minimes. Voici des petits foulques macroules.Ils sont vraiment très jeunes, ils ne quittent pas encore le nid douillet.

Quoi de plus romantique qu’une balade en barque ? Surtout si vous ramez sur celui que l’on nomme « le joyau du bois de Vincennes ». En effet, outre cette nature généreuse, le lac des Minimes, encore un peu secret, affiche un calme déroutant et bénéfique. Creusé en 1857 par Jean-Charles Adolphe Alphand, sur ordre de Napoléon III, il devait rendre plus agréable à la promenade cet écrin de verdure. Pari gagné. Car aujourd’hui encore, partir en croisière sur son onde a su conserver tout son charme d’antan.

Sur cette étendue d’eau d’une superficie de six hectares, vous naviguez entre trois petites îles. Mais interdiction formelle d’y accoster car ces espaces sont interdits au public. Seuls les oiseaux ont ici droit de cité. Autant le dire, le site est idéal pour l’observation ornithologique.

Vous pouvez ainsi allégrement contempler canards, cygnes et poules d’eau, ainsi que les foulques macroules, pour les plus classiques. Pour les plus curieux, on répertorie ces élégants hérons cendrés ou encore ces inhabituels canards mandarins qui, au printemps, saison des amours, se parent d’un plumage aux couleurs chatoyantes. Votre expédition vous entraîne ensuite vers de petites cascades. Laissez-vous alors bercer par le clapotis tout en gardant un œil sur dame Nature et ses trésors insoupçonnés.