Voici la suite de ma balade au lac Daumesnil. Samedi 19 janvier 2013.
Voici les premières photos de ma balade au lac Daumesnil à Vincennes. Photos prises samedi 19 janvier. Le ciel se confondait avec le lac, de même couleur. Il faisait vraiment très froid. Sur la troisième photo vous apercevez le rocher du Zoo de Vincennes, toujours fermé.
Photo prise ce matin ... Elle ne doit pas avoir chaud la pauvre !
C'était hier soir vers 23 heures ...
Voici mon dernier article sur le Musée de la Poupée. Il y a beaucoup, beaucoup d'autres poupées, plus de 500, je ne peux pas vous les mettre toutes ici. Le Musée est actuellement fermé, jusqu'au 1er février, pour cause de travaux. Le 1er février débutera une autre exposition, le Musée de la poupée se renouvelle souvent, pour notre plus grand plaisir. Je vous donne l'adresse de ce fabuleux musée :
IMPASSE BERTHAUD
Quartier Beaubourg
75003 Paris - Rambuteau
Le Musée de la Poupée a également un site: http://www.museedelapoupeeparis.com
Pour terminer cette série d'articles sur ce Musée, voici quelques souvenirs personnels :
C'était ma première vraie poupée, j'avais 9 ans, elle parlait et marchait, elle m'avait été offerte par ma grand-mère paternelle, j'ai eu la chance et la surprise de la retrouver ici dans ce musée :
Voici la poupée Tinnie, poupée que j'avais offerte à ma fille Aline. Elle en avait vu de toutes les couleurs la pauvre, à la fin ma fille lui avait même coupé les cheveux! :
Un baigneur qui ressemblait à un nouveau-né, on l'aurait cru vrai ! je l'avais offert à Aline alors que j'étais enceinte (de sa soeur Yaël), j'avais tricoté toute la layette en me servant de lui !
Et un jour, dans les années Soixante-Dix, les poupées se sont mises à parler, à marcher, à rire, à pleurer, à chanter et à bouger, c'était incroyable !
Les années Vingt ont vu apparaître de nouvelles entreprises qui ont beaucoup marqué la mémoire collective. Lenci est la plus connue, car elle a innové dans un genre de poupée alors inédite : la poupée en feutre pressé. Elena König, d'ascendance allemande, fonda la maison Lenci avec son époux Enrico Scavani, en 1919. Ils s'implantèrent à Turin, via Cassini, et connurent un succès grandissant, accru par la participation très remarquée de la marque à l'exposition parisienne consacrée aux Arts Décoratifs en 1925. En 1933, la gestion trop "artistique" des Scavini allait entraîner la perte de Lenci, pourtant à son épogée. C'est alors que les frères Garella devinrent les associés des Scavini. Sous leur gestion la marque rayonna encore tout au long des années Trente, toujours sous la direction artistique de Madame Scavini. Cette collaboration s'arrêta en 1940, lorsque Elena Scavini quitta définitivement la Lenci. Toujours dans les années Vingt, l'entreprise romaine Burgarella, a excellé dans l'utilisation de la composition, sous la direction artistique de Ferdinando Stracuzzi. A la même époque, des entreprises comme l'industria Nazionale di Celluloïde, étaient spécialisées dans la fabrication de baigneurs en celluloïd. (Le Musée de la Poupée).
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La ville de Turin a été un des hauts lieux de la création de poupées en Italie. Lenci s'y est implantée dès 1919. Après le départ de Madame Scavini de la Maison Lenci en 1940, sa fille Anili a repris le flambeau familial en fondant sa propre entreprise tout de suite après la Deuxième Guerre mondiale. Comme sa mère l'avait fait avec Lenci, Anili baptisa son entreprise de son propre nom et perdura jusqu'à la fin du XX siècle avec une très jolie boutique de décoration de d'accéssoires de mode, dans la prestigieuse Piazza Castello à Turin, en poursuivant une petite production de poupées en feutre ou en celluloïd. Le Studio Golia, enfin, est le troisième créateur de poupées turinois. Alda Besso, en art Gio Golia, ont créé des silhouettes caricaturales décoratives en pièces uniques qu'ils destinaient à décorer des vitrines, à faire la réclame de différents produits et à l'illustration de cours d'histoire du costume dans le cadre de l'ENALC, une école de formation professionnelle. Leurs poupées étaient réalisées à partir d'un squelette en fil de fer recouvert de kapok et d'une épiderme en moelleton élastique, cousu et peint à la main, avant de rendre, en trois dimensions, les croquis que Golia dessinait avec son talent légendaire. Leur production de poupée s'arrêta à la fin des années Cinquante. (Le Musée de la Poupée).
La maison Bonomi a été en activité à Milan depuis l'entre-deux guerres. La production des années Trente était chapeautée par Giuseppina Bonomi et consistait, essentiellement, en poupées en composition.
La production de poupées du deuxième après-guerre, a été l'oeuvre de Ferruccio Bonomi, qui a mené la marque à son apogée. C'est à lui que l'ont doit cette exceptionnelle galerie de visages expressifs qui caratérisent la production des années Cinquante et Soixante.
Les habillages des poupées de cette époque sont fabuleux ! d'un goût exquis, ils sont toujours coupés de façon impeccable dans des tissus de qualités. Les chaussures étaient en peau blanche, les dessous extrêmement soignés, les cols, souvent amovibles, étaient toujours doublés comme dans la haute couture.
Les modèles présentés ici montrent d'abord la variété des moules de visages et la déclinaison du moule classique en plusieurs tailles. Le piano, de facture française, date des années Soixante.
Bécassine : une héroïne centenaire
Exposition autour du célèbre personnage de bande dessinée apparu en 1905, à travers les albums originaux, des poupées rares et anciennes et une multitude d’objets insolites à son image. cette exposition ravira les enfants d’hier nostalgiques, les enfants d’aujourd’hui qui chantent "leur cousine", les amateurs de bande dessinée.
C'est avec un peu d'avance que je vous met la photo du week-end.
Je continuerais mes articles sur le Musée de la Poupée, lundi. Bon week-end.
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